La lettre, document de l’absence, ne
nous renvoie, déformé par l’alchimie
de la séparation, qu’un reflet de ce
que n’est pas, de ce que l’on ne peut
vivre. Elle est ce qui a été, ce qui n’est
plus, mirroir de sentiments exaspérés,
edulcurés, de mots d’attente
conventionnels que l’on se doit dire à
l’autrre pour s’apaiser soi-même quand il
n’est plus là.
Marie-Claire Grassi
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